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Questions d’intérêt et lexique

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Quelle différence entre "Open Source" et "Libre" ?

Un logiciel Open Source est un programme informatique dont le code source est distribué sous une licence permettant à quiconque de lire, modifier ou redistribuer ce logiciel.

Il se distingue cependant du logiciel libre, au sens où l’Open Source est davantage tourné vers un objectif de développement collaboratif que vers la défense des libertés individuelles. Dans la pratique, cette nuance est rarement prise en compte, et l’usage a tendance à assimiler logiciel libre et logiciel Open Source.

Open Source ne signifie pas non plus « gratuit ». Il existe de nombreux freewares dont le code source est propriétaire (il n’est pas permis d’y accéder, de le modifier ou de le redistribuer). Toutefois, nous préférons utiliser un code redistribuable / à redistribuer pour pouvoir faire profiter de notre expérience aux communautés de développeurs.

Le modèle économique de l'open source

Le développement d’un projet open source relève d’un choix éthique ou pragmatique. Mais pour que le code soit accessible, il est important de trouver des modèles économiques qui innovent. Pour ceux qui pensent que les logiciels open source ne possèdent pas de business modèles, sachez que c’est tout le contraire.
Voici quelques modèles économiques parmi les plus courants dans l’univers des projets open source.

Support et services
Il se développe autour de la fourniture de services aux utilisateurs du produit open source. De manière plus concrète, cela comporte les contrats de support, de formation et de certification. Bien que ce soit l’un des pionniers des modèles économiques open-source, il montre ses limites. Les éditeurs sont confrontés à la faiblesse des marges mais aussi aux difficultés de compétitivité. Même si l’entreprise qui est à l’origine d’un projet open source peut bénéficier d’avantages, il ne faut pas occulter les risques liés à la sous-évaluation des prix.

Hébergement
Dans ce modèle économique, il revient au vendeur de fournir une version hébergée de son produit open source. En général, les entreprises deviennent des modèles tournés vers le SaaS ou le laaP. Il n’est pas rare que dans de nombreux cas, cela soit combiné au modèle « valeur ajoutée SaaS ». En ce qui concerne les offres propriétaires, elles sont associées avec un service d’hébergement pour mettre en place une barrière défensive face à la concurrence.

L’Open-core
Dans ce modèle économique, la grande partie du produit est open source mais le fournisseur propose une meilleure version qui se présente comme un logiciel commercial propriétaire. De manière typique, il suffit de posséder un noyau de ce produit en open source, et une autre version entreprise qui comporte des fonctionnalités comme :
 – L’analyse
 – La sécurité
 – L’audit
 – Etc.

Valeur ajoutée SaaS
Il s’agit d’un modèle économique très proche de celui de l’open-core, mais tout de même distinct. La fourniture du logiciel propriétaire se fait comme un service SaaS. L’efficacité est vraiment avérée quand le service SaaS possède un « effet réseau » car il peut de cette manière construire une défense durable contre les nouveaux fournisseurs du marché. Il existe de nombreuses entreprises qui ont choisi cette option, comme par exemple GitHub.

La double licence
Ici, les fournisseurs positionnent les projets open source sous une licence commerciale propriétaire gratuite. Il n’est pas rare que ce modèle soit considéré comme le futur des entreprises open source. Cela était vrai au début de l’année 2009, mais aujourd’hui, la double licence est considérée comme morte. Toutefois, les projets open source modernes sont plus tournés vers les licences du genre Apache ou MIT qui comportent moins de restrictions. Par ailleurs, les logiciels open source se sont grandement généralisés et plus acceptés dans les entreprises.

Vous ne travaillez pas sur du logiciel propriétaire, donc ?

Bien sûr que si, dans la limite de ce qu’impose la licence de ce logiciel propriétaire, dont au mieux la majorité du code est fermé mais avec lesquels il faut savoir travailler. Nous avons la volonté et la compétence pour faire cohabiter au mieux logiciels propriétaires et open source.

De plus, une étude IDC a été portée sur plus de 230 entreprises françaises en 2016 afin de « connaître leur position sur l’open source et sur la façon dont celui-ci trouvait sa place dans l’entreprise. Cette étude est sponsorisée notamment par IBM, Red Hat et Microsoft. Des conclusions à prendre avec des pincettes donc : Microsoft fait feu de tout bois pour plaider la cause d’une approche hybride mêlant open source et logiciels propriétaires et les conclusions de cette étude vont tout à fait dans ce sens.

Force est de constater que l’open source n’est aujourd’hui plus un tabou : 84% des entreprises sondées déclarent ainsi avoir recours à des outils open source. Plus précisément, ce sont les environnements web qui bénéficient le plus de ces outils, avec en moyenne 43% des outils issus d’un développement Open Source. En deuxième et troisième position, on retrouve les langages de programmation ainsi que les bases de données.

Pour 52% des entreprises interrogées, ce n’est pas vraiment une question de conviction, mais un choix pragmatique, puisqu’elles indiquent chercher avant tout la meilleure solution, quel que soit le modèle de développement.

L’open source dispose en revanche de quelques atouts dans sa manche face au modèle propriétaire : les entreprises contactées mettent ainsi en avant le fait que ce modèle permet une réduction des coûts, mais est aussi perçu comme le modèle le plus propice à l’innovation. Mais plutôt que de basculer complètement du côté de l’open source, les entreprises plaident plutôt pour une « convergence » de ces différents modèles de développement. Un travail en cours pour les sondés, dont 60% estiment que des progrès en terme de mixité ont été réalisés au cours des dernières années, et 30% considèrent que ces deux modèles ne sont plus opposés. »

Cette approche semble raisonnable et pragmatique. Après tout, nous souhaitons donner aussi une chance aux entreprises utilisant des logiciels propriétaires, ce n’est pas une fatalité 🙂

Globalement, l'informatique est compliquée, ce n'est pas pour moi...

Détrompez-vous. Le système d’information (SI), qu’il ne faut pas confondre avec les systèmes d’exploitation (Linux, Windows, Android, macOS…), est un territoire partagé entre les informaticiens, chargés de le faire fonctionner, et les gens des « métiers » (finance, budget, comptabilité, ressources humaines, etc.), qui l’utilisent dans leur travail. Toute la difficulté de la réalisation d’un SI d’entreprise réside dans l’effort que ces acteurs aux métiers et aux cultures différentes doivent faire pour comprendre leurs objectifs et leurs contraintes respectifs.

Mythe n° 1 : le Système d’information c’est fini

Mythe n° 2 : les applications de gestion c’est très simple

Mythe n° 3 : les systèmes intégrés c’est fini, vivent les micro-services !

Mythe n° 4 : il suffit d’acheter le bon logiciel

Mythe n° 5 : il n’y a qu’à externaliser les développements !

Mythe n° 6 : confier le SI aux métiers !

Mythe n° 7 : l’analyse de l’existant

Mythe n° 8 : l’expression des besoins

Mythe n° 9 : l’exhaustivité de l’analyse

Mythe n° 10 : le schéma directeur

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Licences (propriétaires / libres)

Lorsqu’une entreprise achète un logiciel, elle reçoit une copie du logiciel ainsi qu’une licence permettant de l’utiliser. L’entreprise ne possède pas le logiciel car les droits de possession appartiennent à l’éditeur du logiciel. L’entreprise acquéreuse est soumise aux termes et aux conditions de la licence.

Le logiciel est une création de l’esprit et les conditions d’utilisation d’un logiciel relèvent du droit d’auteur. Une licence logicielle donne donc le droit d’utiliser le logiciel.
Plus précisément, la licence décrit et encadre les conditions d’utilisation du programme notamment la distribution et la reproduction du logiciel. La licence spécifie très souvent si le logiciel est installable sur un ou plusieurs ordinateurs et si l’acquéreur est autorisé à créer des copies de sauvegarde du programme original.

Ainsi lorsque vous installez un logiciel dans votre entreprise, vous devez accepter la licence ce qui se fait par le biais de deux modes d’agrément couramment utilisés :
– En déchirant le cellophane de la boite, vous acceptez le contrat de licence qui se trouve à l’intérieur de la boite (cette méthode est juridiquement contestée).
– En acceptant électroniquement avoir lu le contrat lors de l’installation du logiciel. Si l’utilisateur n’accepte pas le contrat, le logiciel n’est pas utilisable.

On peut trouver notamment :
– Des clauses autorisant l’éditeur a enregistrer ou surveiller les informations saisies dans le logiciel.
– Des clauses restreignant l’usage du logiciel dans certains pays (cryptographie), certains lieux (écoles), certains type d’utilisateurs (particuliers).

Même les logiciels « gratuits », sont souvent livrés avec une licence qui contraint leur utilisation. En général, le but est d’éviter l’altération et la modification du logiciel dans le but de le revendre.

 

Plus de 20 licences régissent les conditions d’utilisation des logiciels.
Alors que certains type de licences sont juridiquement clairs et sans ambiguité, la majorité comportent des zones d’ombres permettant des interprétations variées. Et pour ne rien simplifier, de nombreux logiciels sont des assemblages de plusieurs briques logicielles régies par des licences diverses.

On peut néanmoins classer les licences en 4 grandes familles :
– Licences propriétaires : l’acquéreur d’un logiciel propriétaire doit accepter un contrat de licence utilisateur final. Le code source est fermé. 1 poste = 1 licence. Licence payante.
– Licences freewares : logiciel au code source fermé distribué gratuitement.
– Licences sharewares : Logiciel propriétaire que l’on se procure gratuitement pour le tester mais que l’on doit payer si l’on désire l’utiliser. Le code source est fermé.
– Licences libres : Logiciel à code source ouvert modifiable et redistribuable facilement par tout contributeur. Il existe de nombreuses variantes de licences libres encadrant plus ou moins le droit d’auteur. Il existe de nombreux flous juridiques aujourd’hui parmi les licences libres.

Avantages et inconvénients :
– Les logiciels propriétaires sont des boites noires. Leur fonctionnement est secret et peut poser des problèmes de sécurité et de compatibilité. Payantes, ces solutions sont particulièrement adaptées pour des applications métiers spécifiques.
– Les logiciels libres reposent sur les contributions volontaires. Ouverts, parfois plus surs que leurs homologues propriétaires, ils sont une vraie mine d’or si l’entreprise dispose d’informaticiens compétents en interne. Ce choix peut être pertinent pour des questions de compatibilité ou dans certains domaines (les technologies du web par exemple).

La majorité des licences contiennent une clause « as is », traduit par « en l’état » qui signifie que le logiciel est livré tel quel et que l’éditeur décline toute responsabilité en cas de bugs ou d’erreurs. L’éditeur se réserve le droit de corriger le problème s’il le souhaite et de faire payer les mises à jour de correction.

Ces clauses qui peuvent être considérées comme injustes sont rarement négociables par les TPE/PME.
En cas de problème, le seul recours consiste à retourner le logiciel et négocier un remboursement.

Transition numérique

Le numérique a déjà révolutionné nos vies quotidiennes. Le développement exponentiel de nouveaux outils comme le téléphone portable ou la tablette numérique a radicalement changé les comportements. Nous pouvons désormais accéder à de nombreuses informations qui sont créées, transférées, analysées sous un format numérique où que l’on soit.

Ce changement de comportement des individus est bien sûr transposable au monde de l’entreprise avec des applications directes parmi lesquelles :
– le développement des progiciels CRM (Customer Relationship Management) qui permet d’optimiser les interactions avec le client sur l’ensemble du processus, de la prise de contact à la signature finale.
– la visibilité sur le web via un site Internet devenue une condition sine qua non d’existence. De la simple description de l’entreprise à un outil commercial, en plusieurs langues, les degrés de performance sont nombreux, d’autant que les applications sur mobiles se sont également fortement développées.
– l’accessibilité de l’information quel que soit l’endroit où l’on se trouve. Cela peut être un formidable vecteur de communication, par exemple pour l’activité commerciale, mais aussi une dangereuse ouverture sur des paramètres qui peuvent être confidentiels.
– les habitudes de travail sont aussi impactées : les réunions se font à distance, les documents sont partagés sur des plateformes collaboratives, le télétravail se développe.

La transition numérique, que certains appellent déjà révolution numérique est donc en train de changer les pratiques des entreprises. L’évolution des pratiques commerciales et des pratiques de communication est la plus visible. Sans aller jusqu’à l’extrême, où nous pouvons imaginer les paramètres d’une ligne de production installée dans une usine en France contrôlés par un technicien se trouvant à plusieurs milliers de kilomètres, le numérique est déjà fortement présent dans la conception, la maintenance, la production, l’administratif. L’intégration nécessaire de ces nouveaux outils est alors une source immense d’innovations au sein de l’entreprise : innovation sur le produit, sur les services intégrés adossés à ce produit, sur les processus de fabrication et sur les modes de fonctionnement de l’entreprise.

Cloud computing

Le cloud computing correspond à l’accès à des services informatiques (serveurs, stockage, mise en réseau, logiciels) via Internet (le « cloud » ou « nuage ») à partir d’un fournisseur.

Les principaux services proposés en cloud computing sont le SaaS (Software as a Service), le PaaS (Platform as a Service) et le IaaS (Infrastructure as a Service). Généralement sur trois niveaux, le cloud public — accessible par Internet —, le cloud d’entreprise ou privé — accessible uniquement sur un réseau privé —, le cloud intermédiaire ou hybride — qui est un mix entre le cloud public et le cloud privé.

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